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Affectivité, Sexualité et Handicap

La sexualité des personnes handicapées est un sujet tabou, entre les partisans des aides sexuelles et les récentes déclarations de Roselyne Bachelot qui affirme que cette assistance ne fait que renforcer le secteur de la « prostitution » dégradante pour la femme, quelle réflexion et quelle évolution possibles ?
L’association Belge : ASPH a réuni, des professionnels du secteur comme des animateurs, éducateurs, psychologues, sexologue soucieux de partager leurs expériences et de trouver des solutions à certaines problématiques.

L'outil indispensable,

En 2006, l’ASPH ouvrait les débats, les discussions sur la sexualité des personnes handicapées.

Aujourd’hui, une brochure voit le jour : « Affectivité, Sexualité et Handicap ».

L'ASPH a réuni, au sein d'un groupe de travail, des professionnels du secteur - animateurs, éducateurs, psychologues, sexologue - soucieux de partager leurs expériences et de trouver des solutions à certaines problématiques. Ce groupe nommé PHAS se compose de l’ASPH et de quatre institutions mixtes pour personnes handicapées qui diffèrent dans leur fonctionnement, dans leur population et dans leur quotidien.

Ces réflexions ont abouti à cette brochure : « Affectivité, Sexualité et Handicap », conçue comme un outil pour l'élaboration d'un projet pédagogique dont la vie affective, relationnelle et sexuelle des usagers est une réalité institutionnelle à part entière. Elle s'adresse à l'ensemble du personnel de l'établissement et plus particulièrement à l'équipe éducative, mais aussi aux usagers et aux parents.

Etayée d'exemples concrets et de situations vécues, son objectif est de proposer un panorama de moyens et de pistes favorisant le bien-être et l'épanouissement affectif et relationnel des personnes porteuses de handicap quel qu’il soit.

Cette brochure peut être obtenue gratuitement.
ASPH
Tél. 02/515.02.69 / 02/515.06.43

* Télécharger la brochure  (Clique droit puis "enregistrer la cible sous...)

Le restaurant Esatitude, une aventure humaine qui tourne !

Géré et financé par l'ADAPEI, cet hôtel-restaurant emploie 64 adultes handicapés mentaux. Depuis son ouverture, il y a un an, le resto ne désemplit pas !


Depuis son ouverture, il y a un an, l'hôtel Esatitude est une affaire qui tourne. Surtout son restaurant qui tous les midis fait le plein. Pour ses repas frais, de qualité et son service rapide assuré par des adultes handicapés.
/ Photo : Franck Fernandes

Avec ses 29 chambres, son restaurant lumineux au design moderne, l'hôtel Esatitude, implanté quartier Saint-Roch, est une adresse à retenir. (1) D'abord pour son rapport qualité prix, mais surtout pour sa formidable aventure humaine. Car ici, les prestations hôtelières comme la restauration sont assurées par 64 adultes handicapés mentaux.

Cliquez sur la photo pour lire l'article dans son intégralité


L'annonce d’un diagnostic chez son enfant

L’annonce d’un diagnostic chez son enfant reste un souvenir traumatisant pour bien des parents. Que se joue-t-il à ce moment? Comment cette annonce influence-t-elle le devenir de l’enfant ?

Quand la réalité bouleverse

On nous avait pourtant prédit un enfant en santé, un enfant « normal ». La grossesse s’était merveilleusement bien déroulée : pas d’anomalies détectées aux échographies, pas de signes avant-coureurs suspects, aucune anicroche. Juste un ventre un peu petit. Mais rien d’inquiétant. Et pourtant...

Lire l'Article original ? (Cliquez sur le lien ci-dessous)

Dépendance : penser aux handicapés

La réforme de la dépendance devra aussi concerner les personnes handicapées et pas seulement les personnes âgées, affirme la Fnath, importante association de malades et de personnes handicapées, dans une tribune publiée jeudi dans le quotidien La Tribune.

Si la réforme devait déboucher sur la création d'une cinquième branche de Sécurité sociale (en plus de la famille, la maladie, la retraites et les accidents du travail), on ne pourrait "limiter une telle branche à la dépendance des personnes âgées", écrit le secrétaire général de la Fnath, Arnaud de Broca. Au contraire, poursuit-il, "elle doit intégrer l'ensemble des personnes concernées par la perte d'autonomie, à savoir en particulier les personnes handicapées".

Le gouvernement s'oriente vers une réforme de la prise en charge de la dépendance qui ne concernerait que les personnes âgées. Pourtant, la grande loi handicap de 2005 prévoit, pour 2010 maximum, la "convergence" des systèmes de prise en charge des personnes âgées et personnes handicapées.

A l'heure actuelle, le système change quand on atteint 60 ans. Les aides octroyées aux personnes âgées sont inférieures à celles prévues pour les handicapés.

Concernant le financement de la dépendance - l'un des axes majeurs de la réforme à venir -, la Fnath se dit en faveur d'un financement "par la solidarité nationale", qui exclurait notamment l'idée d'un recours sur succession (les pouvoirs publics récupèrent, au décès du bénéficiaire, une partie des aides versées).

(Source : Figaro)

Roselyne Bachelot rend visite aux personnes handicapées mentales vieillissantes

Roselyne Bachelot, Ministre des solidarités et de la cohésion sociale rend visite aux personnes handicapées mentales vieillissantes au foyer d'accueil médicalisé Jean Faveris.
L'Unapei souhaite que cette visite appelle Madame Bachelot à prendre les mesures
nécessaires lors de la réforme de la dépendance dont les débats débuteront dès janvier 2011.
Les revendications de l'Unapei :
-1. que les personnes handicapées mentales puissent bénéficier de l'AAH tout au long de leur vie,
-2. que des solutions d'accueil adaptées soient développées (maisons spécialisées, adaptation de maisons de retraites classiques, structures proches de leurs lieux de vie ... tout peut être envisagé à condition que la solution soit basée sur un véritable projet de vie)
-3. qu'un programme pluriannuel de création de 30.500 places dédiées à l'accueil et à l'accompagnement des personnes handicapées mentales vieillissantes.

Source : L'actualité sociale par Pierre Facon, Conseiller Général de Neuilly Plaisance)

Bayonne : L'antenne de diagnostic de l'autisme est ouverte



Le professeur Manuel Bouvard dirige le
 réseau de diagnostic de l'autisme
 en Aquitaine. photo F. B.
Bientôt un CRA (Centre de Ressources Autisme) en Corse ? d'après nos sources l'ARS de Corse étudierait le dossier...à suivre donc !

Le professeur Bouvard sera à Bayonne ce 16/12/2010, pour inaugurer la nouvelle structure consacrée au dépistage et à l'évaluation du trouble répandu.

La structure sera inaugurée ce matin, dans les locaux du centre hospitalier de la Côte basque. L'établissement accueille désormais une antenne du Centre de ressources autisme Aquitaine (CRA). Le professeur Manuel Bouvard est responsable de cette entité basée au centre hospitalier bordelais Charles Parens. À la tête d'un réseau œuvrant pour la prise en charge la plus précoce et la plus ciblée possible de l'autisme. Il reste en la matière un chantier important.

« Sud Ouest » : Qu'est-ce que cette antenne ouverte à Bayonne ?
Manuel Bouvard : C'est le maillon d'un réseau animé par le Centre de ressources autisme Aquitaine. Ces CRA se développent dans toutes les régions de France. Ils s'appuient sur des antennes comme celle de Bayonne.

Lire la suite de l'article original [ICI]

(Source : Le Sud Ouest)

Vivre avec un frère autiste : « Arthur est différent mais c'est quelqu'un à part entière »

Aujourd’hui, un enfant sur 150 est autiste en France. Une statistique qui a augmenté depuis 20 ans, sans que les structures d’accueil ne suivent la même courbe. Des difficultés que Pierre Deprez, Touquettois d’origine, connaît bien puisque son frère Arthur y est confronté. Un grand frère certes différent, mais avec lequel il a tissé une vraie complicité fraternelle…
« Je suis persuadé que mon frère Arthur est doté d’une grande intelligence, mais le problème vient de la communication, de sa perception des autres. » Pas toujours facile, en effet, pour Pierre d’échanger avec l’aîné de la fratrie, quand celui-ci souffre d’une forme d’autisme très lourde, n’est pas autonome et ne parle pas. « À la fois, c’est impossible d’avoir des échanges, à la fois, il existe entre nous une communication extraordinaire qu’on a développée depuis plus de 20 ans.

Lire la suite de l'article ? Cliquez sur le lien ci-dessous :

Vivre avec un frère autiste : « Arthur est différent mais c'est quelqu'un à part entière » - Actualité Montreuil - La Voix du Nord

Le succès de la première Journée Nationale de la Conférence des gestionnaires

Vendredi 3 décembre, à l'occasion de la Journée Internationale pour les personnes handicapées, la Conférence des gestionnaires a réuni 300 personnes lors de sa 1ère Journée Nationale.

 

Lourdes. Adapei : un accueil de jour sur mesure

Lynda, monitrice éducatrice, occupe les
résidents./ Photo Francine Depeyre.
L'Adapei souhaitait une nouvelle formule d'accompagnement des résidents handicapés mentaux les plus fatigués. En accueil de jour, ils vivent à leur rythme.
L'Adapei réfléchit depuis longtemps à de nouvelles formules pour favoriser l'épanouissement et l'accompagnement de ses résidents handicapés mentaux tout en répondant aux demandes des familles. À l'Esat L'Envol, route de Pontacq, certains d'entre eux trouvent matière à s'occuper en travaillant, tandis que d'autres sont tellement ou démotivés ou fatigués ou trop handicapés qu'il leur devient impossible de rester dans le circuit du travail. Il en va même de leur santé physique et mentale. S'acharner à vouloir les maintenir dans la production et faire la sourde oreille à leur mal-être ne serait plus de l'accompagnement « mais de la maltraitance passive », relève Lynda, la monitrice, et ça « tout le monde le rejette ». Le président de l'Adapei 65, Alain Schwebel, et ses équipes ont pris conscience qu'il fallait trouver un autre accompagnement.
L'accueil de jour, animé par une équipe de cinq encadrants moniteurs animateurs assistés de spécialistes, semble être une efficace solution, « tous s'ingénient à trouver des activités adaptées aux envies, aux besoins de chacun, raconte Lynda, juste ce qu'il faut de sollicitation pour intéresser les personnes, maintenir leurs acquis tout en respectant leur temps de repos, leur rythme sans les bousculer ».
Dans cet accueil, on sent l'activité, on entend parler de couture, jardinage, décoration, peinture, on les voit jouer et cuisiner bien sûr. Car l'accueil de jour est doté d'une cuisine et d'une grande salle de vie et c'est là que sont confectionnés café, thé et les fameux cookies qui requinquent tout le personnel de l'Esat.
Si elles ne vivaient qu'intra-muros, ces personnes ne s'épanouiraient pas totalement. Aussi, des sorties extérieures de « socialisation » sont organisées : séjours en gîte, à l'Océan et à la montagne, balades à cheval, initiation au golf…
« On voit de vrais changements chez ces personnes, selon Lynda, alors que sur leur poste de travail, elles se fanaient jusqu'à perdre leur joie de vivre. Les laisser dépérir ainsi s'apparente à de la maltraitance passive. On a eu une bonne intuition, une bonne idée de créer cet accueil de jour. À nous de faire coller les besoins, les demandes et les attentes. »

(Source : La Dépêche)

(AFP) Handicap mental : banalisation des discriminations

PARIS — L'Unapei, fédération d?associations de défense des personnes handicapées mentales, a tiré la sonnette d'alarme, mercredi, sur la banalisation des discriminations touchant les handicapés mentaux.
"Nous sommes si perpétuellement confrontés à la discrimination, que nous avons tendance à nous y habituer et à ne plus la voir", a affirmé Christel Prado, sa présidente, lors d'une conférence de presse à Paris, deux jours avant la journée internationale des personnes handicapées.
Pour illustrer son propos, Mme Prado, mère d'un enfant polyhandicapé, a annoncé avoir saisi la Halde (Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité) en raison du blocage d'un projet de construction d'un établissement d'accueil pour personnes handicapées mentales vieillissantes à Meudon (Hauts-de-Seine), par un riverain "ne voulant pas avoir de handicapés mentaux près de chez lui".
L'Unapei demande au gouvernement de "montrer sa détermination à faire progresser la lutte contre toutes les discriminations en garantissant le maintien et l'indépendance de la Halde qui les combat". Cette autorité devrait être absorbée en 2011 par le nouveau Défenseur des droits, dont la nomination est prévue au printemps.
L'Unapei demande aussi aux élus locaux de "développer davantage la scolarisation, l'emploi et l'accès aux loisirs des handicapés mentaux". Elle demande enfin aux médias "d'informer les Français sur le handicap mental pour qu'il soit mieux connu, donc mieux intégré".
La France compte environ 4,5% de handicapés mentaux, selon la dernière étude Insee de juillet dernier.
84% des Français estiment que les handicapés mentaux font l'objet de discrimination, selon un sondage Ipsos de mars dernier, réalisé pour l'Unapei.

Copyright © 2010 AFP. Tous droits réservés. Plus »

Une proposition sénatoriale sur l’AAH et la situation des adultes handicapés..

Fin octobre verra le dépôt d’une proposition de loi sénatoriale visant selon les critères officiels à simplifier l’articulation de l’aide aux adultes handicapés et à mieux en contrôler les dépenses.

En ligne de mire : aller plus loin au niveau de la réforme de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et s’attaquer à ses dérapages budgétaires.

Comme le nombre de bénéficiaires de l’AAH ne cesse d’augmenter ( plus de 900.000 bénéficiaires en 2011 contre 809.000 en 2007 ) et au vu de l’augmentation du montant moyen de l’allocation il apparait que l’écart entre les prévisions budgétaires et l’exécution ne cesse de se creuser ( plus de 400 millions d’Euros en 2010 contre 42 millions en 2006 ).

1ere enquête miroir entre le grand public et les personnes trisomiques 21 réalisée pour le Collectif des Amis d’Eléonore

Le Collectif des amis d’Eléonore a souhaité faire une étude sur la perception de la trisomie 21 et donner pour la première fois la parole aux personnes handicapées elles-mêmes. Trop souvent les personnes trisomiques ont le statut de sujets de discussion. Nous avons voulu qu’elles deviennent acteurs du débat. Ignorer leur avis était déjà une mise à l’écart : admettre leur capacité de s’exprimer sur leur propre vie est un pas de reconnaissance. Et il était devenu urgent de connaître leur avis car l’enquête grand public révèle que 82% des personnes sondées n’ont pas de personne trisomique dans leur entourage, familial, professionnel, voisinage. Elles n’en ont que des idées reçues. Si certaines réponses bousculent des certitudes, la confrontation des deux enquêtes révèle des angles morts mais aussi des courants porteurs.

Le droit d'aimer offert à tous les résidants

Il aura fallu deux ans à l'Adapei 16 (1) pour engager une réflexion autour de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap mental. Un sujet difficile et souvent tabou. « Je suis moi-même père d'une enfant handicapée, je sais de quoi je parle, explique Henri Fougerat, le président de l'Adapei Charente. Je sais que, pendant longtemps, on a mis une chape de plomb sur ce thème. »
Une réflexion commune a donc été engagée avec les personnes en situation de handicap mental, les familles et les professionnels de l'association. Une charte pour le respect de la vie affective et sexuelle des personnes handicapées a été rédigée. Elle servira de référence aux établissements concernés.

Dix Choses Que Les Enfants Atteints D’autisme Aimeraient Que Vous Sachiez

Cet article tiré du livre : "Dix Choses Que Les Enfants Atteints d’Autisme Aimeraient Que Vous Sachiez " est reproduit ici avec l'aimable autorisation de son auteur : Elen Notbohm.

On dirait certains jours que la seule chose prévisible que la vie nous réserve soit l’imprévisible, le seul aspect cohérent, précisément l’incohérence. Quel que soit l’angle que l’on adopte, il est difficile de contester que l’autisme est déroutant, y compris pour ceux qui y sont confrontés au quotidien. L’enfant qui vit avec l’autisme pourra sembler « normal », mais son comportement peut laisser perplexe et s’avérer très difficile. L’autisme était autrefois considéré « incurable », mais à mesure que l’on avance dans la connaissance et la compréhension de ces troubles, la théorie s’effrite peu à peu, y compris à l’instant même où vous lisez ces lignes. Chaque jour, des personnes atteintes d’autisme nous apportent la preuve qu’elles peuvent surmonter, compenser et même vivre avec nombre des caractéristiques les plus invalidantes de l’autisme. Transmettre à ceux qui côtoient nos enfants des éléments de compréhension simples mais néanmoins fondamentaux renforce de manière cruciale leurs chances d’avancer vers l’âge adulte de manière plus productive et autonome.

Futures mamans bientot un test pour depister le gène qui cause l’autisme

Un chercheur procède
 à des tests.

Dans une étude publiée cette semaine dans le journal Science Translational Medicine, des chercheurs de l’hôpital pour enfants de Toronto pensent avoir trouvé une explication au fait que les troubles relatifs à l’autisme soient quatre fois plus présents chez les garçons que chez les filles.

Les scientifiques expliquent que les garçons chez qui une altération d’un gène précis du chromosome X a été détectée ont un risque élevé de développer une telle anomalie.

Epilepsie : pour une amélioration de l'accès aux soins en Europe

L'Organisation Mondiale de la Santé appelle les pays européens à améliorer l'accès aux soins des personnes atteintes d'épilepsie. En effet, 40 % des malades ne suivraient pas de traitement contre l'épilepsie.
La publication du rapport "Encourager les soins de l'épilepsie en Europe" a alerté l'OMS sur le manque de ressources nécessaires à la prise en charge des personnes épileptiques et aux soins qui leur sont apportés dans les pays européens. "L'épilepsie est une maladie facilement traitable, mais le fossé qui existe dans les soins délivrés et le niveau de stigmatisation auquel doivent faire face les personnes malades est tout simplement inacceptable", explique Hanneke M. de Boer, coordinateur de la Campagne Mondiale Contre l'Epilepsie.

Pour pallier ce manque de ressources, l'OMS préconise la mise en œuvre de programmes d'intervention dédiés à la diminution de la stigmatisation de la maladie, de promouvoir et de favoriser la recherche sur l'épilepsie et de permettre au plus grand nombre d'accéder à la chirurgie. L'OMS rappelle que plus de 6 millions d'Européens sont touchés par l'épilepsie, affection neurologique se traduisant par des convulsions ou une perte de conscience soudaine.

(Source : Top Santé)

Personnes Handicapées, corvéables à merci ?

Courrier à l'attention des Législateurs français,
des Politiques et du Gouvernement.

DISCRIMINATION ENVERS LES PERSONNES HANDICAPÉES

Nous, Personnes Handicapées, sommes-nous corvéables à merci ?

SERIONS NOUS SI RICHE QUE CELA ?

À tous partis confondus, êtes-vous prêts à nous aider face aux injustices flagrantes qui déferlent sur notre pays.

À cette rentrée législative, nous vous posons des questions concernant les problèmes suivants :

Nous ne pouvons plus supporter, les injustices qui nous accablent, nous personnes handicapées, coupables d'être malades malgré nous.

- Premier sujet : l’ALD, en question ?

Handicap et vieillissement...

Des maisons accueillent les parents âgés
et leurs enfants handicapés :

Prendre en charge un enfant handicapé n’est pas toujours une tâche facile à vivre au quotidien… Et que se passe-t-il, lorsqu’en plus, les parents vieillissent… Heureusement, des solutions se développent donnant la possibilité aux parents âgés de s’installer dans une maison adaptée leur permettant de vivre en toute tranquillité avec leur enfant handicapé. Deux exemples dans l’ouest de la France, à Chartres-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine) et aux Herbiers (Vendée).

De nos jours, les personnes handicapées vivent de plus en plus longtemps… Et c’est une bonne chose. Toutefois, que deviennent ces gens lorsque leurs parents vieillissent et qu’ils ne peuvent plus s’en occuper aussi bien qu’auparavant ? S’ajoute alors à l’angoisse de vieillir et de disparaître, celle de laisser un enfant seul et sans défense, peu accoutumé à vivre en dehors d’un cercle familial restreint…

Autisme : Recherche

Identifier des gènes impliqués dans l’autisme
 et les troubles apparentés

Bruno Giros, directeur de recherche au CNRS, dirige le laboratoire de physiopathologie des maladies du système nerveux central, laboratoire mixte entre le CNRS, l’INSERM et l’UPMC.
Au sein de ce laboratoire, Catalina Betancur, chercheur INSERM, dirige l’équipe Génétique de l’Autisme dont l’objectif est d’identifier des gènes impliqués dans l’autisme et les troubles apparentés.


(Source : Teasing Handicap)

Développement de la vie affective et sexuelle des personnes handicapées

Par Raymond Ehrhardt psychiatre.


Plan de l'article :

     - 1. Généralités
     - 2. Les exigences de la pudeur
     - 3. Responsabilités de l’institution
     - 4. A propos du « Droit à la sexualité »
     - 5. Aléas de la vie affective des personnes handicapées mentales
     - 6. Conclusion