Page d'AccueilVoir les statuts de l'ASAUS2aPourquoi se mobiliser et pourquoi adhérerConditions et règles d'utilisation du blogNous contacter
Message importantTravaux en coursTous nos articles classésTous les commentaires par date de parutionaccès réservé aux membres du CA

Un rapport confidentiel accable l'association bastiaise L'Éveil

Après la Corse du Sud, c'est en Haute Corse que l'IGAS intervient et épingle le fonctionnement d'une ADAPEI en moins d'un an.

Certes les faîts invoqués à Bastia sont différents de ceux d'Ajaccio, puisqu'ils ne concernent pas uniquement la mauvaise gestion financière. Mais une fois encore, cela prouve les limites du système de contôle et la faible efficacité des Conseils d'Administration de ces associations,  tant en matière de gestion qu' en matière de fonctionnement interne. Issue d'un modèle aujourd'hui dépassé, face aux nouvelles règles du secteur médico social, la seule reconnaissance des Conseils d'Administration comme entité participative au sein de ces grosses associations, n'est plus suffisante. L'ASAUS2a déplore une fois encore ce mode de fonctionnement et  réclame un élargissement consultatif et participatif externe aux associations gestionnaires, pour une plus grande transparence sur la gestion des fonds publics et les conditions d'accueil .

(ASAUS2a)

L'article du Corse matin :

L'association « l'Éveil » qui fait figure d'institution dans la prise en charge des enfants et des adultes handicapés mentaux est aujourd'hui pointée du doigt par des experts dépêchés par le ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique et le secrétaire d'État chargé de la Famille et de la Solidarité.

L'inspection générale des affaires sociales critique des manquements dans le fonctionnement de l'association départementale des parents et amis de personnes handicapés mentales de la Haute-Corse (ADAPEI), une structure gérant quatre établissements dans la région bastiaise et placée sous la tutelle de l'État et du conseil général.
Et tout particulièrement dans la gestion d'événements qualifiés « d'indésirables » au plus haut sommet de l'État, notamment une affaire de moeurs. Ce sont « des signes d'alerte de nature à remettre en cause la sécurité et le bien-être physique et moral des personnes accueillies », souligne cette mission d'expertise.

Lire la suite de l'article sur :

 (Cliquez sur le logo ci-dessus)

(Source : Corse matin)

0 Comments: